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#Posté le jeudi 03 septembre 2009 15:22

Modifié le mercredi 08 mai 2019 13:00

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tony1985, Posté le samedi 18 février 2017 02:48

Bonjour ♥

La Vie...
Une Fleur... La Rose
Un Sourire...
Un Geste ...La Tendrese
Une Passion ...La Création
Une Qualité ...La Douceur
Un Espoir ...La Santé
Un Rêve...Un Bonheur.
Et Ton Amitié...
Avec Ce Cocktail D'Amitié,
Bisous Ton Ami


sexy523, Posté le vendredi 17 février 2017 14:25

bientout


fandelom1989, Posté le jeudi 16 février 2017 03:34

coucou mon ami je te souhaite une belle journée. Bisous ^^


KatherynPerry, Posté le mardi 07 février 2017 03:30

Merci beaucoup pour l'ajout ! :)
N'hésite pas à t'inscrire à ma newsletter (et/ou à venir discuter !) ♥


tony1985, Posté le lundi 06 février 2017 12:15

Bonsoir avec toute mon amitié
je passe te souhaiter une bonne soirée
une douce nuit plein de jolis rêves
BISOUS


pattyvend, Posté le dimanche 05 février 2017 13:17

Les Jours de Juin

Eugène, puisque Juin, le plus feuillu des mois,
Est de retour, veux-tu tous deux aller au bois ?
Ensemble et seuls, veux-tu, sous l’épaisse ramure,
Prendre un long bain de calme, et d’ombre, et de verdure ?
Viens-t-en sous la forêt de Meudon ou d’Auteuil
Ouïr gaîment siffler le merle et le bouvreuil.
Vois, ami, le beau ciel ! la belle matinée !
Tout nous promet sur l’herbe une bonne journée.
Qui te retient ? Partons, amis au c½ur joyeux,
Allons vivre ! fermons nos livres ennuyeux !
Oublions nos travaux, nos soucis, notre prose !
Sur sa tige allons voir s’épanouir la rose !
Dans la mousse odorante où croît le serpolet,
Quel bonheur d’égrener des fraises dans du lait,
Et, d’un tabac ambré fumant des cigarettes,
Assis sur le gazon jonché de pâquerettes,
De discourir de tout, de demain, d’aujourd’hui,
Et du passé d’hier, bel âge évanoui,
Jours si vite envolés de collège et d’études,
Et de nos froids pédants aux doctes habitudes,
Et des maîtres aimés, nos bons vieux professeurs,
Les Ménard, les Duguet, aux sévères douceurs !
Nous nous rappellerons nos longues promenades
Au Pont du Sens, nos bains l’été, nos camarades,
Chers enfants dispersés à tous les vents du sort,
Ceux-là pris par le monde, et ceux-ci par la mort,
Hélas ! Et le silence aux molles rêveries
Alors remplacera nos vives causeries ;
Et des dômes ombreux qu’attiédit le soleil,
Descendra sur nos fronts un transparent sommeil,
Sommeil fait de lumière et de vague pensée ;
Et, comme une onde errante et d’un doux vent bercée,
Abandonnant notre âme à ses songes flottants,
Les yeux à demi clos nous rêverons longtemps…
Puis, renouant le fil des longues confidences,
Nous dirons nos travaux, nos v½ux, nos espérances ;
Et, tels que dans l’églogue aux couplets alternés,
Deux pasteurs devisant sur leurs vers nouveau-nés,
Nous nous réciterons, toi ta chère Vendée,
Beau livre où ton esprit couve une grande idée ;
Moi, mes chants sur mon île aux palmiers toujours verts,
Éclose au sein des eaux comme une fleur des mers.
Et tu verras passer dans ces vers sans culture
Un monde jeune et fort, une vierge nature,
Des savanes, des monts pleins de mâles beautés,
Et, creusés dans leurs flancs, ces vallons veloutés
Où, près des froids torrents bordés de mousse fraîche,
Mûrissent pour l’oiseau le jam-rose et la pêche ;
Un soleil merveilleux, un ciel profond et clair,
Des bengalis, des fleurs, joie et parfums de l’air,
Tout un Éden baigné de splendeur et d’arôme
Où tout est poétique et grand, excepté l’homme !
Puis les oiseaux viendront, gazouillant leurs amours,
A mes lointains pensers donner un autre cours.
Ils diront leurs amours, et moi, sous la ramée,
Comme eux, je te dirai ma pâle bien-aimée,
Aux longs cheveux plus noirs que l’aile du corbeau,
Aux yeux d’ébène, au front intelligent et beau,
Sa bouche jeune et mûre, et sur ses dents nacrées
Le rire éblouissant de ses lèvres pourprées,
Et sa belle indolence et sa belle fierté,
Et sa grâce plus douce encor que sa beauté !
Alors, adieu mon île et les vertes savanes,
Et les ravins abrupts tapissés de lianes,
Les mimosas en fleur, le chant des bengalis !
Adieu travaux et vers, la Muse et mon pays !
J’aurai tout oublié, radieux et fidèle,
Pour ne me souvenir et ne parler que d’elle !
Je te raconterai – souvenir embaumé ! –
Comment, un soir d’avril, je la vis et l’aimai ;
Comment de simples fleurs, de douces violettes,
Furent de notre amour les chastes interprètes ;
Comment, un autre soir, à son front j’ai posé
Des lèvres où mon c½ur palpitait embrasé ;
Comment dans un éclair de volupté suprême,
Pressant contre mon sein le sein brisé qui m’aime,
Foudroyé de bonheur et me sentant mourir,
J’ai crié : « Maintenant, ô mort ! tu peux venir ! »
Mais, vois ! le ciel serein ! la belle matinée !
Tout nous promet sur l’herbe une bonne journée.
Viens-t’en ! fuyons la ville ! Amis au c½ur joyeux,
Allons vivre ! fermons nos livres ennuyeux !
Ensemble et seuls, allons sous l’épaisse ramure
Prendre un long bain d’oubli, de calme et de verdure.


fleur-de-lys-315, Posté le dimanche 05 février 2017 11:36

Bonjour, c'est un belle hommage pour bourvil. C'était un sacret no acteur qu on n oublie pas.merci pour ce beau partage. Bonne fin de dimanche.bisous.


Deloris, Posté le dimanche 05 février 2017 07:58

Bon dimanche. Bise.


LOVERDOSE-DIESEL, Posté le samedi 04 février 2017 20:32

C'est bien vous sur la photo ?


Topsauxracismesgroupes, Posté le samedi 04 février 2017 14:49

bonne soiree


monila59, Posté le samedi 04 février 2017 12:15

இڿڰۣ-ڰۣ—Bonsoir (l)
me voila pour te souhaiter une
une agréable soirée et une douce nuit
Bisous


fan-de-renaud1964, Posté le samedi 04 février 2017 11:23

Bonsoir
C'est avec tout mon c½ur...
Avec le sourire...
Et la bonne humeur...
Les bras chargés d’amitiés
Que je passe ...
Pour venir te souhaiter
Une belle soirée et douce nuit
Gros bisous


vgt7, Posté le samedi 04 février 2017 09:58

bonjour,bon samedi


acteursactrices, Posté le samedi 04 février 2017 09:03

Les Bois détruits

J’ai vu des nobles fils de nos forêts superbes
Les grands troncs abattus dispersés dans les herbes,
Et de l’homme en ces lieux j’ai reconnu les pas.
Renversant de ses mains l’½uvre des mains divines,
Partout sur son passage il sème et les ruines
Et l’incendie et le trépas.
Que de jours ont passé sur ces monts, que d’années
Pour voiler de fraîcheur leurs cimes couronnées
D’arbres aux troncs d’airain, aux feuillages mouvants !
S’il faut, hélas ! au temps des siècles pour produire,
A l’homme un jour suffit pour abattre et détruire
L’½uvre séculaire des ans.
Sur ces sommets boisés qu’un souffle tiède embaume,
Ma muse, blonde enfant qui naquit sous le chaume,
Vers des cieux bleus et clairs essaya son essor ;
Et butinant leur miel aux fleurs de Salazie,
Elle errait et cueillait sa fraîche poésie,
Légère abeille aux ailes d’or.
Peut-être avant le jour où ma tête blanchie
Penchera vers le sol, pesante et réfléchie,
Revenant à ces lieux demander leurs abris,
Je reverrai des monts sans verdure et sans ombres,
Et, pleurant en secret nos solitudes sombres,
Je gémirai sur leurs débris.
Je veux fermer mon c½ur aux douloureux présages…
O gigantesques monts où dorment les nuages,
De vos arbres sur nous balancez les arceaux !
Défendant vos beaux flancs des haches meurtrières,
Que notre main conserve à vos têtes altières
Leurs chevelures de rameaux !
Et vous, doux habitants de ces lieux solitaires,
Hommes simples et purs, aux m½urs hospitalières,
Respectez-les, ces bois qu’ont respectés les ans !
Laissez sous leur verdure et leurs ombres profondes
Errer les couples blancs, jouer les têtes blondes
Des colombes et des enfants.
Joignez à l’arbre fier de sa haute stature
L’humble arbuste où l’oiseau trouve sa nourriture ;
Aux marges du torrent qui bouillonne argenté,
Laissez rougir la fraise et la framboise éclore ;
Que la pêche y suspende au soleil et colore
Son fruit au duvet velouté.
Que la brise, agitant vos touffes de jam-roses,
Épanche autour de vous la douce odeur des roses ;
Que leur dôme embaumé s’incline sur les eaux ;
Sous leur voûte cachez vos maisonnettes blanches,
Comme on voit, suspendus dans l’épaisseur des branches,
Les nids ombragés des oiseaux.
Restez sourds aux conseils d’une avide opulence ;
De sagesse et d’amour vivez dans le silence.
Le trésor le plus pur vient de la paix des c½urs.
Mais chassez l’étranger de vos bois centenaires,
Car il profanerait de ses mains mercenaires
Vos forêts vierges et vos m½urs !
Qu’ont-ils fait de nos bois, qu’ont-ils fait de nos terres,
Ces défricheurs venus des plages étrangères,
Par un vent de malheur sur nos grèves jetés ?
Ne voulant voir en eux que des déshérités,
Notre île hospitalière accueillit leur détresse
En mère, et sur leurs deuils mesura sa tendresse.
Abritant leurs fronts las, de son ciel tiède et pur
Elle étendit sur eux la coupole d’azur ;
Sous leurs pieds écartant les épines jalouses,
Elle ouvrit le velours de ses molles pelouses,
Fit chanter, pour bercer leurs souvenirs amers,
Les oiseaux de ses bois et les flots de ses mers,
Et leur prouva par l’acte et non par la parole
La chaude loyauté de l’amitié créole.
Mais tes fils adoptifs ont trahi tes bontés.
Ils ont porté la mort dans tes champs dévastés.
Le froid amour de l’or éteignant dans leurs âmes
Le foyer virginal et noble aux belles flammes,
Ils ont privé ton ciel de ses peuples d’oiseaux,
Tes plaines de leurs fleurs, tes nymphes de leurs eaux ;
Et, sapant tes forêts, ô ma mère ! leur glaive
Fit tomber de ton front ta chevelure d’ Ève.
Et nous avons permis que leurs bras éhontés
Missent à nu les flancs qui nous ont enfantés !
Et sous nos yeux ils ont, de leurs mains libertines,
Profané les secrets de tes formes divines !
Et nous l’avons souffert ! et nos justes fureurs
N’ont pas honni, chassé ces durs dévastateurs
Que la vague en courroux, rebuts d’un autre monde,
Déposa sur nos bords comme une vase immonde !
O misère ! ô douleur ! Ce n’est pas tout encor,
Car ils nous ont légué leur appétit pour l’or :
A leur souffle glacé notre âme s’est flétrie ;
Nous n’avons plus au c½ur l’amour de la patrie !
De la terre natale où dorment nos aïeux
Nous éloignons nos pas, nous détournons les yeux ;
Nous n’aspirons qu’à l’heure où gorgés de richesses,
Fuyant ces lieux, berceaux de nos pures jeunesses,
Nous pourrons dans le sein des lointaines cités
Étaler au grand jour nos sottes vanités !
Et pour voler au but où notre espoir s’attache,
Nous portons en tous lieux et la flamme et la hache ;
Et l’on ne voit partout que des champs dépouillés,
Que d’arides plateaux aux rocs noirs et pelés,
Qu’une herbe rare et jaune et des arbustes fauves
Sur les flancs décharnés de nos montagnes chauves ;
Et, courbés vers le sol, chaque jour dans son sein
Nous fouillons de la pioche et du pic assassin.
De nos champs épuisés, sans remords et sans trêve,
Notre lèvre acharnée a bu toute la sève ;
Et, desséchant ce sein qui nous a tous nourris,
Quand il n’est plus de lait dans ses vaisseaux taris,
Tout gonflés et repus du sang de notre mère,
Nous faisons voile, hélas ! vers la rive étrangère,
Et nous allons aux yeux des superbes cités
Étaler au grand jour nos sottes vanités !
O mère malheureuse ! ô mère délaissée !
Oui, garde sur tes yeux ta paupière baissée.
Je comprends ta tristesse et comprends tes douleurs,
Et mêle à tes regrets mes regrets et mes pleurs.
Plus de verte savane et d’ombreuses collines,
Où s’ouvrait la grenade aux perles purpurines ;
Plus de hauts cocotiers et de beaux orangers
S’affaissant sous le poids de leurs rameaux chargés ;
Et tu ne verses plus sur la mer langoureuse
Qui vient baiser tes pieds de sa vague amoureuse,
Les souffles parfumés et les fraîches senteurs
De tes arbres si beaux que les oiseaux pêcheurs,
Fuyant des flots émus les rumeurs éternelles,
Venaient s’y reposer pour embaumer leurs ailes !
Mais tout n’est pas perdu, mère, console-toi !
Il te reste des fils qui t’ont gardé leur foi,
Qui, n’empruntant jamais leur vol aux hirondelles,
Quand tout te trahirait te resteraient fidèles,
Et qui, pour te servir jusqu’à leur dernier jour,
A défaut du génie auront du moins l’amour !
Et près d’eux j’en sais un qui, sevré de tendresses,
Du sort n’a point connu les prodigues caresses ;
Mais qui, fils de tes flancs, fidèle humilié,
Se consolant en toi-de lutter oublié,
Se souviendra toujours que ses lèvres jumelles
Ont sucé l’existence à tes brunes mamelles.
Il ira, cet enfant dont le front révolté
Porte un natal reflet de ta mâle âpreté,
Il ira sur tes monts où siègent les nuages,
Bleus-palais éthérés de l’esprit des orages ;
Et là, seul avec toi, si dans l’ombre des nuits
Il exhale en secret l’hymne de ses ennuis,
Mère, à sa voix pardonne un accent de colère :
Cette voix dut flétrir ta honte séculaire.
S’il naquit pour chanter les bois, les eaux, les fleurs,
Le sort ne lui fut pas avare de douleurs ;
Enfant né pour le jour, persécuté par l’ombre,
Il sait ce que la vie a de dégoûts sans nombre ;
Aussi, triste, mais calme et bravant tout écueil,
Il va seul à son but dans son tranquille orgueil.
Sur les sommets altiers, sur la montagne austère,
Il marche loin des pas des heureux de la terre ;
Leurs injustes dédains à son âme ont appris
A payer leurs dédains d’un trop juste mépris ;
Mais de ce c½ur blessé l’indulgence hautaine
N’est jamais descendue au niveau de la haine ;
Vers des dieux plus cléments il aspira toujours,
Et toujours la nature eut ses hautes amours.
Les torrents écumeux, la foudre et ses ravages
Ont façonné son âme à leurs concerts sauvages ;
Mais son verbe attendri, pour célébrer tes bords,
O mon île ! oubliera les farouches accords.
Pour chanter sur les monts ta verte Salazie
Sa lèvre épanchera le miel de poésie ;
Et le jour où, donnant dans un dernier adieu
Sa dépouille à la tombe et son esprit à Dieu,
Il se reposera d’une existence amère,
Tu verseras peut-être une larme, ô ma mère !


GUGU5757, Posté le samedi 04 février 2017 08:37

merci pour info bonne journée


blog-d-amitie, Posté le samedi 04 février 2017 08:15

c bien


Le-Monde-De-Mel, Posté le samedi 04 février 2017 07:17

J'aime beaucoup Bourvil aussi mais je reste une grande passionnée de Louis de Funès.


pattyvend, Posté le mercredi 21 septembre 2016 17:43

Villanelle
Marie Krysinska
À E. Mesplés

Vous êtes la grâce jeune des matins
Et le clair rire des flûtes pastorales
Roses fleuries!
Mais le charme des tristesses très chères est en vous
Et, notes de clavecins, s’évanouissent vos pétales
Roses fanées!
Vous êtes revêtues des robes d’aurore
Et, des tendres nuées d’Avril s’illuminent vos seins
Roses fleuries!
L’or mélancolique des couchants d’Automne
A mis sa beauté dans vos c½urs mourants
Roses fanées!
Vos parfums sont l’ivresse neuve des étreintes
L’allégresse de vivre et l’extatique encens
Roses fleuries!
Mais, dans les Urnes pieuses de vos défunts calices
Repose l’immortel arôme du Souvenir
Roses fanées!


opiumstlaurent, Posté le lundi 19 septembre 2016 12:40

coucou tu vas bien c'est sous un ciel mitigé que je te rends une petite visite et en espérant que ta journée fut agréable je te souhaite une bonne soirée ainsi qu'une douce nuit peuplée de jolis rêves je te fais de tendre bisous ton amie Mimi


TARZAN599, Posté le mardi 06 septembre 2016 02:33

bonjour et bonne journee bizzzzz


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